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Journaux et magazines français et internationaux - Page 13

  • CHARLTON & LYDIA HESTON A GREENSBORO : MOÏSE S'EST MARIE ICI .....

    Un billet datant de 1984 qu'a publié James Byrne sur sa page FB.

    Une promenade dans les souvenirs de Chuck et Lydia, qui sont retournés 40 ans après leur mariage, à Greensboro en Caroline du Nord, faire campagne pour les élections présidentielles de 1984.

    Petit billet, sans prétention, simplement sympathique, qui nous raconte en quelques mots, comment ces deux jeunes comédiens de la Northwestern Academy, décident de se marier le 17 mars 1944, juste avant que Charlton parte pour deux longues années, dans les Îles Aléoutiennes, faire la guerre à bord d'un bombardier.

    Quarante ans après, ils font leur pèlerinage et se souviennent.....

    Merci James pour votre gentillesse.

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    Le couple ressemblait à des touristes typiques admirant une jolie église. Il montrait, Elle cliquait sur son appareil. Mais la présence dominante du grand homme était incontournable. Un piéton le long de West Friendly Avenue, au Centre Ville, était sous l'objectif quand il a déclaré: «Hé, n'est-ce pas Charlton Heston ? "

    L'acteur gagnant de l'Academy Award qui est monté sur le chariot de " Ben Hur ", est descendu de la montagne dans " les dix commandements  " et a commandé en tant que directeur de cirque dans " Sous le plus grand chapiteau du monde ", est revenu à Greensboro (Caroline du Nord) jeudi avec sa femme Lydia pour la première fois en quarante ans. Ils sont arrivés de Californie pour faire Campagne pour les candidats républicains Ronald Reagan et Jess Helms Jr. et pour s'engager dans la nostalgie romantique en visitant l'Église méthodiste Grace United.

    church-photo-95201-1 GRACE CHURCH église du mariage de Chuck et Lydia à Greensboro Carolina Nord.jpg

    Leur visite était pour la base provisoire de l'Armée de l'Air qui prit position en bordure du centre-ville apportant des milliers de nouvelles recrues pour la formation de base et plus tard pour une formation de dernière minute avant de se déployer à l'étranger. Heston était juste une jeune recrue, tenant un fusil M-1, faisant des sauts et sur lequel hurlaient des sergents d'entraînement qui n'avaient aucune idée, bien sûr, qu'ils maudissaient une future figure biblique à l'écran.

    « C'était  un mauvais plafond bleu quand nous nous sommes mariés, c'est blanc maintenant », dit l'acteur, sortant de l'église en chemise rouge vif. « Il y avait là un cerisier fleuri » dit Lydia Heston. 

    C'était un jour pluvieux, le 17 mars 1944, quand Heston et Lydia Clarke se promenaient dans le centre-ville à la recherche d'un endroit où se marier.

    Il venait de terminer sa formation à ce qu'on appelait alors le Camp d'entraînement de base -10 (BTC-10), situé sur près de mille acres derrière les centres commerciaux du Nord-Est de Summit et Summit Avenue. Elle était étudiante, comme il l'avait été, à Northwestern University près de Chicago.

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    Ils ne connaissaient personne dans la ville. Heston a trouvé une bijouterie qu'il pensait être près du vieil hôtel King Cotton, peut-être l'endroit pour se loger, le plus élégant de la ville alors.

    Il avait acheté une bague. Il dit : «Je me souviens que je l'ai eue pour vingt et un dollars". Après ils avaient choisi d'entrer dans Grace Methodist pour éviter la pluie. Charlton Heston a été enchanté par le plafond bleu.

    Ils ont trouvé deux femmes qui travaillaient dans la cuisine de l'Eglise, qui ont accepté d'être témoins du mariage. Le pasteur Emmet McLarty a été convoqué pour les marier.  

    A l'église jeudi, Dorothy Poer, l'une des témoins qui avait appris que les Heston prévoyaient  de visiter l'église, revint et se tint à la porte  pour les accueillir. Ils se sont embrassés et Poer, âgée de quatre-vingt-trois ans, accompagna le couple dans le sanctuaire, comme elle l'avait fait en 1944.

    Plus tard, Lydia Heston, a traversé Friendly Avenue pour prendre des photos de l'Eglise sous différents angles. "N'est-ce pas tout simplement merveilleux?" a-t-elle déclaré. 

    Contrairement à ce jour, quatre décennies avant, cette journée d'automne a été spectaculaire. Plus tôt, près de l'hôtel The Four Seasons au Centre ville, où Heston a parlé au rassemblement politique,  il s'est octroyé du temps. Après tout, il est Moïse : "pas d'applaudissements" , il reste impassible : "ce n'est pas difficile vraiment. Il faut juste un peu de concentration".
     
    Lydia Heston a parlé également et a répondu à la question qui vient à l'esprit de tout le monde : "comment peut-on rester mariés à Hollywood durant quarante ans ?".
     " Le secret, c'est l'amour "dit-elle.
     
    BILLET PUBLIE EN 1984
     
  • SOUVENIR D'UNE INTERVIEW DE CHARLTON HESTON

    Publié le 23 janvier 2015

    Mise à Jour le 8 décembre 2016

     

    SOUVENIR D'UNE INTERVIEW DE CHARLTON HESTON...

    (Par Barbara Cloud)

     

    J'ai voulu traduire ce souvenir de Barbara Cloud, car je le trouve vraiment beau et émouvant.

     

    http://old.post-gazette.com/columnists/20030216cloud0216fnp1.asp

     

     

    ...LE SUJET ETAIT NOS NEZ

     

    Dimanche 16 février 2003

     

    Je regardais l'interview "20/20" de Peter Jennings avec Charlton Heston, et cela a remué des souvenirs de ma rencontre avec l'acteur il y a de nombreuses années.

     

    Même si Heston n'avait malheureusement pas souffert de la maladie d'Alzheimer, il ne s'en serait pas souvenu, mais je ne l'oublierai jamais.

     

    Si vous avez vu l'interview le 20 décembre 2002, vous connaissez les ravages de la maladie d'Alzheimer, ce n'est guère le truc que nous voulons observer chez n'importe qui, encore moins chez un homme connu pour sa forte présence à l'écran.

     

    Là, sur le petit écran, dans mon salonse trouvait l'acteur qui était toujours le beau héros de ses films.


    S'il vous plaît, pas de dérives sur NRA. Ce n'est pas le sujet.

     

    Ce que nous avons vu, dans ce qu'a dit Jennings pouvait être la dernière interview d'Heston parce que la maladie semble progresser, c'est la façon dont la maladie d'Alzheimer nous amène à un autre endroit. Et c'est un endroit très solitaire. Personne ne peut y aller avec vous.

     

    Ma réflexion était sur nos réunions antérieures quand Heston n'était pas perdu, pas inhibé, pas chancelant et certainement pas contestant.

     

    Il était tout ce que j'avais imaginé de ce que j'avais vu dans les films -- cette forte mâchoire, cette foulée, la posture sans pareil.

     

    J'ai eu le privilège de l'interviewer à deux reprises, ici à Pittsburgh.

     

    Après la première interview, où un photographe de la Presse de Pittsburgh a pris une photo de Heston et moi, je suis allée dans la maison d'une femme qui faisait pousser des orchidées (les journées des journalistes sont ainsi souvent variées).

     

    Alors que je m'asseyais avec elle, elle m'a regardée et m'a dit - et cela semble remarquable - "Vous savez, vous pourriez être la sœur de Charlton Heston."

     

    J'ai eu le souffle coupé, parce qu'elle n'avait aucune idée que je venais juste d'être avec lui. Je n'avais pas vu la ressemblance, mais j'étais impatiente de voir la photo que notre photographe avait prise.

     

    La photo, un profil, m'a fait haleter encore. "Oh mon Dieu, nous nous ressemblons." Et bien, en quelque sorte.


    Ce sont les pommettes et le nez. Et peut-être notre couleur de cheveux et le teint. Surtout, c'est le nez. Il convient mieux à la structure osseuse plus forte d'un homme, mais le mien est le nez dont j'ai été dotée, et semblable à celui de mon père, donc je le porte avec fierté.

     

    Il n'est pas mignon. Il est, donc, proéminent et, oui, comme celui d'Heston.

     

    En 1962, je l'ai rencontré à nouveau quand il est venu à Pittsburgh pour promouvoir "El Cid", un film dans lequel sa partenaire était Sophia Loren. Je n'ai jamais oublié notre interview.

     

    Il avait déjà joué Moïse dans "Les Dix Commandements" en 1956, un rôle auquel il serait identifié pour toujours, et j'éprouvais toujours une sorte de respect pour lui, aussi idiot que cela puisse paraître, alors que j'approchais de sa suite à l'Hôtel William Penn.

     

    Il est devenu plus réel pour moi ce jour-là parce qu'il était si facile de lui parler et il se souvenait de notre première rencontre. Quand j'ai mentionné le fait qu'il m'avait été dit que nous pouvions passer pour frère et sœur, il m'emmena vers le miroir et nous nous sommes tournés de profil.


    Il a ri et a dit, "Je pense que c'est le nez."

     

    Une série de photographies ce jour-là ont également capté un côté humain de l'acteur. Même s'il était habillé de façon appropriée (chemise, cravate, etc.) pour l'occasion d'une interview à la presse (à la différence des acteurs d'aujourd'hui qui portent des T-shirts et des jeans), il ne portait pas de chaussures.

     

    J'ai essayé de ne pas m'en apercevoir, mais au cours de notre discussion, il a joué avec ses orteils !


    J'ai pensé que nous devions en effet avoir des gènes similaires. Déchaussée est ma façon préférée de marcher.


    Et quand j'ai demandé ce que c'était de travailler avec Sophia Loren, il sourit et dit respectueusement, "Eh bien, je vais vous dire une chose. Elle est une double portion de femme."

     

    Je n'ai jamais oublié cette citation. Ce n'était pas un instant Moïse.


    Heston était déjà marié à Lydia. Ils se sont mariés très jeunes, quand ils commençaient tout juste des carrières en tant qu'acteurs.


    Et là, après toutes ces années, était sa belle Lydia assise à côté de lui pour cette interview avec Jennings. Elle avait envie de pleurer. Moi aussi.


    Ce n'était pas facile à regarder. Cela m'a rappelé le temps qui passe et nos avenirs incertains.

     

    Quand j'étais récemment à Phoenix, faisant des achats dans les Galeries d'Art de Neiman Marcus au Biltmore Fashion Park, j'ai entendu une voix familière derrière moi demandant de l'aide à la vendeuse qui me parlait.

     

    Elle s'excusa, ce qui ne me dérangeait pas parce que je regardais seulement.

     

    Puis quelqu'un m'a tapé sur l'épaule et j'ai entendu une voix bien modulée s'excusant d'emmener la vendeuse. Il espérait que cela m'était égal.

     

    Je me suis retournée pour dire qu'il n'y avait pas de souci et plongeais fixement dans les yeux de Peter Jennings. Je pensais que c'était très chic de sa part de prendre le temps de me dire ça.

     

    Donc, je me suis aussi rappelée cette rencontre quand j'ai suivi son interview avec Heston une semaine ou deux plus tard.

     

    Les yeux de l'acteur nous en ont plus dit que des mots de ce que la maladie d'Alzheimer peut vous enlever dans sa manière insidieuse.

     

    Les yeux de Jennings ont également envoyé un message d'empathie à son sujet. Cela n'a pas dû être facile.

     

    Je ne suis pas sûre que j'aurais voulu voir l'acteur tel qu'il est aujourd'hui, frêle et marchant d'un pas court glissant, certainement loin de l'homme robuste que nous connaissions dans les films, l'homme qui se sentait à l'aise de ne pas porter ses chaussures lors d'une interview, l'homme qui cligna de l'œil pour décrire les lignes généreuses de Loren.

     

    Mon lien, bien que distant, est très personnel.
    Chaque fois que je regarde dans le miroir, je me souviens de ce jour où Charlton Heston m'a dit "Je pense que c'est le nez."

     

    SOUVENIR D'UNE INTERVIEW DE CHARLTON HESTON...

     

     

    Vous pouvez voir la video de la dernière interview de Charlton et Lydia par Peter Jennings le 20 décembre 2002, dans l'article suivant "

     

    http://charltonheston.blogspirit.com/archive/2016/12/10/charlton-heston-sa-derniere-interview-expliquee-par-maria-3084452.html

     

     

    Je n'ai jamais voulu publier cette video qui m'est difficile de regarder, mais pour

    la compréhension de l'article de Barbara Cloud, il m'a paru essentiel de la télécharger

    malgré tout.

    Une telle tristesse m'envahit que je ne peux pas supporter de voir notre grand Charlton

    Heston, diminué, ravagé par cette horrible maladie.

    Et le désarroi de Lydia est palpable.

    COMBIEN J'AIMERAIS POUVOIR AVOIR LA TRADUCTION DE CETTE

    INTERVIEW .

     


     

     

     

     

  • CHARLTON HESTON : LES EMPREINTES D'UN GEANT - Hommage de "STUDIO" mai 2008

    Lors du décès de Charlton Heston, le magazine français "STUDIO" lui a rendu un hommage dans son numéro spécial "FESTIVAL DE CANNES MAI 2008". C'est bien !

    Mais ce magazine de cinéma, n'aurait-il pas eu le bon goût d'éditer un numéro spécial "CHARLTON HESTON" pour tout ce qu'il a donné au 7ème art ?

    Le grand Charlton Heston, valait mieux que deux simples pages à l'intérieur du magazine, alors que Harrison Ford en faisait la couverture et, par-dessus la marché à l'intérieur du magazine, 14 pages sont consacrées à cet acteur et à son film "Indiana Jones" qui paraît-il aurait été inspiré par  le personnage de Charlton Heston "Harry Steele" dans le film de 1954 "LE SECRET DES INCAS" ! Cherchez l'erreur ....

    MEME PAS LA COUVERTURE. Si un acteur méritait la Une, c'était bien Chuck !

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  • CHARLTON HESTON : UN HOMME COMBLE - Cinémonde N° 1584 du 15 décembre 1964

    Encore une revue cinématographique que je suis heureuse de vous présenter. Nous découvrons une fois de plus notre Chuck tel qu'en lui-même, d'une déconcertante franchise.... Pas de langue de bois, pas de tabou !!!! Du grand Charlton Heston ! De nos jours, il n'existe aucune personnalité du monde du cinéma ou de spectacle, égalant l'intelligence et la simplicité de Mr. Charlton Heston !

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  • LE REVE DE CHARLTON HESTON : CINE REVUE N° 18 Du 4 mai 1978

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    Sur le feuillet N° 2, nous lisons : " et même Judas pour un peu plus de 30 deniers". Le journaliste qui se dit l'ami de Chuck, a mal révisé ses fiches ou son BEN HUR. En effet, il confond Judas Iscariote qui a trahi le Christ pour 30 deniers, avec Judah Ben Hur, qui lui a rencontré le Christ sur le chemin des galères, puis sur le chemin du Golgotha où le Christ sera crucifié à la suite de la trahison de Judas Iscariote....

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