Très bonne interview.
97 est l'année de Hamlet ou il joue un rôle fantastique d'émotion et de rigueur de jeu.
Malheureusement ce fut sans suite puisqu'il préféra sa carrière politique.
Alors que l'interview montre que même a presque 74 ans il y est toujours lucide et informé sur l'état du cinéma comme art et comme business..
On y ressent aussi son respect pour les bons acteurs de son époque comme De Niro Hoffman ou Pitt, même s'ils n'ont pas toujours renvoyé l'ascenseur..
Ce qui est frappant aussi c'est qu'il continue à parler de Touch of evil de Welles comme d'un chef d'oeuvre Série B..
Il n'aimait guère Cannes et son festival la petite pique qu'il leur adresse en marge de la party de 69 autour de Jules César en est le témoignage.
On ne peut pas l'approuver dans tous ses points de vue et même si parfois il dérape, on constate qu'il en sait toujours plus sur le cinéma et son fonctionnement que beaucoup de critiques et pseudo spécialistes !
Excellent article belle "récupération" France .
C très intéressant..