Ce chapître est particulier à traduire, car il intègre une bonne partie des dialogues de l'acte II.
J'ai préféré le scinder en deux parties, car les dialogues sont longs et seraient fastidieux à lire, il me semble.

9:30 Travail du PAT sur des extraits de l'acte II
10:30 Notes etc...
13:30 Répétition première moitié de la scène de Queeg, acte II
16h15 Pause, pas de notes
18:00 Maggie à l'aéroport avec Lydia. Nous avons une soirée tranquille dans notre suite.
Cet après-midi, j'avais prévu de jouer toute la pièce depuis le début (avec comme public, un autre petit groupe de personnel du théâtre). Je l'ai interrompue juste avant la dépression de Queeg. Certains des acteurs avaient une représentation ce soir, mais je ne voulais pas vraiment que Zhu Xu fasse cette scène aujourd'hui de toute façon.
Je ferais mieux de vous donner quelques détails sur cette scène. Le capitaine Queeg apparaît dans l'acte I, comme premier témoin. Il rencontre le commandant de Marine, modèle qu'il veut tant être. Un public peu familier avec le roman de Wouk devrait être persuadé que Queeg a raison, que le lieutenant Maryk est coupable de mutinerie, bien que le témoignage à travers le reste de l'acte I, remette cela en doute.
Dans le deuxième acte, Queeg est de nouveau appelé pour être contre-interrogé par le lieutenant Greenwald, qui défend Maryk. Au début, le témoignage de Queeg est encore calme, détendu et éminemment plausible. Mais sous l'interrogatoire habile et de plus en plus acharné de Greenwald, il perd son sang-froid, puis craque. Enfin, en réponse à la question de Greenwald sur le registre que Maryk avait tenu sur le comportement irrationnel de Queeg, ce dernier se lance dans un monologue passionné qui l'éloigne de plus en plus de la réalité. Finalement, il n'est plus dans la salle d'audience, ni ne parle à personne, mais, mettant à nu sa psyché, il s'adresse à un groupe d'hommes du Caine dont il se souvient, qui étaient à son service lorsqu'il était jeune enseigne vingt ans auparavant. Maryk est indéniablement innocent. Queeg sort de la Cour avec sa carrière en ruines.
Je ne vois aucun autre discours dans une pièce que je connaisse qui modifie aussi efficacement ce que le public ressent ou qui résout aussi radicalement la pièce elle-même. Le voici :
GREENWALD
– Commandant Queeg, avez-vous lu le carnet de santé du lieutenant Maryk ?
QUEEG
– Oui, j'ai lu un document intéressant, oui, monsieur, en effet. C'est le plus grand conglomérat de mensonges, de distorsions et de demi-vérités que j'ai jamais vu. Mais je suis extrêmement heureux que vous m'ayez interrogé à ce sujet, car je veux que la vérité soit consignée dans le dossier. Toute la vérité.
GREENWALD
– Veuillez indiquer votre version, ou tout commentaire factuel sur les épisodes dans le journal de bord.
QUEEG
– 'Kay. Bon, on commence bien avec cette histoire de fraises ? La vérité, c'est que j'ai été trahi, rejeté et trahi par mon officier supérieur et ce précieux monsieur, M. Keith. À eux deux, ils ont corrompu mon carré d'officiers, si bien que je n'étais qu'un seul homme contre le navire tout entier, sans aucun soutien de mes officiers.
– 'Kay. Maintenant, vous prenez cette affaire de fraises. Pourquoi, si ce n'était pas un cas évident de complot pour préserver de la Justice, un malfaiteur ... Maryk omet soigneusement le petit fait que j'avais prouvé de façon concluante, par un processus d'élimination que quelqu'un avait la clé de la glacière. Il a dit que ce sont les copains de l'intendant qui ont mangé les fraises?! ⌊Il rit⌋ Si je voulais en prendre la peine, je pourrais prouver à ce tribunal GEOMETRIQUEMENT qu'ils n'auraient pas réussi.
⌊Brusquement, il se tourne vers le juge, qui a l'air un peu déconcerté.⌋
– C'est le retour du business de l'eau !Quand l'équipe prenait des douches sept fois par jour!!
⌊à Maryk, maintenant⌋
–Nos évaporateurs étaient définitivement en panne, hein ?
⌊Maryk hoche la tête⌋
–'Kay ! La moitié du temps !
⌊Triomphant, maintenant⌋
– J'essayais de leur inculquer les PRINCIPES les plus simples de la conservation de l'eau, mais non... M. Maryk, le héros de l'équipage, a voulu continuer à les dorloter ! Vous prenez ce café...
⌊une petite pause maintenant, il sort les billes d'acier de ses poches.⌋
– Non...Non... l'affaire des fraises d'abord.
⌊Il se tourne à nouveau vers la cour.⌋
– Tout reposait sur une recherche approfondie de la CLEF, et c'est là que M. Maryk, comme d'habitude avec l'aide de M. Keith, a complètement bidouillé la situation !
⌊A Maryk encore⌋
– Vous venez de passer par tout un tas de faux-fuyants qui n'ont rien prouvé ! Comme les incessantes disparitions des cafetières ... qui étaient la propriété du gouvernement !
⌊A la Cour ⌋
– Ils l'ont pris comme une blague... chacun d'entre eux, à commencer par Maryk. Pas de SENS des responsabilités, bien que j'aie insisté à maintes reprises : La guerre ne durera pas éternellement. Deux ans de plus ? ... cinq ans ? ... tôt ou tard, il faudra rendre compte de tout cela.
⌊A Challee maintenant⌋
– C'était une bataille constante... toujours la même chose : Maryk et Keith... sapant mon autorité, toujours un argument... bien que personnellement... j'aimais beaucoup Keith... J'essayais de l'entraîner... pour me faire poignarder dans le dos... qu... ⌊Sa voix se casse.⌋'Kay. Je crois que ça concerne le...euh...truc de la fraise.
A SUIVRE ⇒
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'Kay,