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  • LES 55 JOURS DE PEKIN - A la télévision TF1 le 23 dimanche 23 janvier 1977

    La belle époque que celle où les programmes de télévision débutaient le soir à 20h30. Epoque bénie où il n'y avait pas pléthores de chaînes comme aujourd'hui et pas encore l'abus de publicité, il n'y avait que trois chaînes.

    Si aujourd'hui on ne peut plus dire que « c'était mieux hier », en tout cas en matière de télévision je prétends que c'était mieux hier.

    Voici donc la présentation du film diffusé le dimanche 23 janvier 1977 à 20h30, dans le magazine TELE 7 JOURS qui pratiquement était le seul à l'époque. Il s'agit du film "LES 55 JOURS DE PEKIN". C'était il y a 42 ans !!!! Un bel article sur Charlton Heston. 

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  • " CHARLTON HESTON REVEALED " une video YT analysée par Maria le 21 janvier 2019

     Dernièrement, ayant découvert une video intitulée " Charlton Heston revealed " sur YOU TUBE concernant Charlton Heston et son action politique vers la fin des années 60, j'ai demandé à Maria d'en faire une traduction et d'expliquer ce dont il s'agissait exactement, car j'avais le sentiment que certains commentaires accompagnant la video n'étaient pas favorables à Chuck ce qui pour moi était injuste. Maria a eu la gentillesse de faire plus que je lui demandais et cela me permet de publier la traduction de ce qu'elle explique fort bien sur les positions politiques de Chuck à cette époque. Merci ma Chère Maria, je t'embrasse. 

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    Cara France, le cose stanno effettivamente come dici tu. Il pezzo è del 1968 quando dopo la rinuncia ad essere candidato per i Democratici di Lyndon Johnson si affacciò la candidatura di Regan per i Repubblicani. Contemporaneamente Chuck stava affrontando una polemica con Eb Asner, suo successore alla carica di presidente del SAG (Screen Actors Guild) i due si trovavano su opposte fazioni circa l’ipotesi di sostenere economicamente , con i soldi degli iscritti al sindacato, ciascuno uno dei due candidati. In più rinasceva una vecchia controversia sulla possibilità di far entrare nel sindacato anche le comparse dei film (extras). Contrariamente ai sindacati europei quello americano (e quello inglese) garantivano agli iscritti una serie di benefici tipici dello stato sociale: pensione, sostegno alla disoccupazione, associazione sanitaria.  L’ingresso degli extras nel godimento di questi benefici aumentava le spese del sindacato rispetto alle entrate apportati dagli extras, superiori di numero ma inferiori per percentuale di contributi alla cassa comune.

    Per quanto riguardava il sostegno economico ai partiti politici Chuck riteneva che questo infrangesse l’imparzialità del sindacato rispetto alle idee politiche di ciascun membro, i democratici finivano col sostenere i repubblicani e viceversa i repubblicani arricchivano i candidati democratici. (come se la CeGT francese si trovasse a finanziare i Gollisti)

    Come al solito Chuck non nascondeva le sue idee e le sue posizioni e il giornalista fa scivolare il sospetto che Chuck aspirasse ad una carica pubblica. In realtà l’offerta più consistente per la carica di senatore gli era venuta da Jack Valenti, produttore e sostenitore del nascente America Film Institute. La risposta di Chuck è sempre la stessa, meglio fare un bel film che diventare Presidente degli USA. Il giornalista appare neutrale e la breve allusione alla legge sulle armi da fuoco è dovuta alla campagna di alcune (poche) personalità di Hollywood contro le armi dopo la morte di Robert Kennedy. All’inizio Chuck sembrò condividere questa posizione ma con qualche limite. Siamo in un momento di incertezze politiche e ideologiche e la particolarità annunciata è il fatto che un attore partecipasse di nuovo al dibattito politico. Il giornalista si limita a dire che più volte la faccia di Chuck era comparsa in televisione per discutere di cose non riguardanti il suo lavoro. In quel momento gli americani erano abituati alla sua presenza in trasmissioni politiche e il commento del giornalista non suscitò nessuna problematica.

    La politica americana dal 1968 al 1972 è molto complessa e più avanti negli anni Regan e Chuck si trovarono su versanti opposti per altri argomenti. Ricorda inoltre che lo sconosciuto candidato democratico è solo un sostituto trovato in fretta dopo l’assassinio di Bob Kennedy. Momento difficile e poco comprensibile per un europeo.

    Coraggio. Tutto questo periodo dal 1963 al 1996 è spiegato in “Stars for Freedom” e “From my cold dead hands” di Emily Raimond, ma purtroppo in inglese.

    Forza France sei tutti noi hestoniennes e non perderti un tributo a Chuck con belle foto e la voce di Mahalia Jackson “What is America to me”

     

    https://youtu.be/ui857BHo4pY

     


    Chère France, les choses sont comme tu le dis. La pièce date de 1968 lorsque, après avoir renoncé à être candidat au parti démocrate de Lyndon Johnson, la candidature de Regan a été retenue par les républicains. Au même moment, Chuck faisait face à une controverse avec Eb Asner, son successeur au poste de président de la SAG (Screen Actors Guild). Les deux hommes étaient opposés quant à l’hypothèse de soutenir économiquement, avec l’argent des membres du syndicat, chacun des deux candidats. En outre, il y avait une vieille controverse sur la possibilité de faire entrer dans le syndicat les figurants des films. Contrairement aux syndicats européens, les Américains (et les Anglais) ont garanti aux membres une série d'avantages typiques de l'État providence : pension de retraite, aide au chômage, mutuelle de santé. L'entrée des extras dans la jouissance de ces avantages augmentait les dépenses de l'union par rapport aux revenus générés par les extras, plus nombreux mais moins importants en pourcentage des contributions au fonds commun.

    En ce qui concerne le soutien économique des partis politiques, Chuck pensait que cela violait l'impartialité du syndicat à l'égard des idées politiques de chaque membre. Les démocrates finirent par soutenir les républicains et vice-versa, les républicains enrichissaient les candidats démocrates. (comme si la CGT française devait financer les Gaullistes).

    Comme d'habitude, Chuck n'a pas caché ses idées et ses positions et le journaliste a laissé échapper le soupçon que Chuck aspirait à une fonction publique. En fait, l'offre la plus cohérente pour le poste de sénateur a été présentée par Jack Valenti, producteur et partisan du naissant America Film Institute. La réponse de Chuck est toujours la même : mieux vaut faire un bon film que de devenir président des États-Unis. Le journaliste semble neutre et la brève allusion à la loi sur les armes à feu est due à la campagne de quelques personnalités hollywoodiennes contre les armes après la mort de Robert Kennedy. Au début, Chuck semblait partager cette position, mais avec quelques limites. Nous sommes dans une période d'incertitudes politiques et idéologiques et la particularité annoncée est le fait qu'un acteur participe à nouveau au débat politique. Le journaliste dit simplement que le visage de Chuck était apparu à la télévision à plusieurs reprises pour discuter de sujets sans rapport avec son travail. A ce moment, les Américains étaient habitués à sa présence dans les transmissions politiques et le commentaire du journaliste ne posait aucun problème.

    La politique américaine de 1968 à 1972 est très complexe et quelques années plus tard, Regan et Chuck se sont trouvés sur des versants opposés sur d’autres sujets. Il rappelle également que le candidat démocrate inconnu n'est qu'un substitut trouvé rapidement après l'assassinat de Bob Kennedy. Moment difficile et peu compréhensible pour un européen.

    Courage. Toute cette période de 1963 à 1996 est expliquée dans "Stars for Freedom" et "De mes mains froides et mortes" par Emily Raimond, mais malheureusement en anglais.

     

    Forza France ! nous sommes tous des hestoniens et ne manquez pas un hommage à Chuck avec de belles images et la voix de Mahalia Jackson“ What is America to me ”.

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    https://youtu.be/l2U1J3oXA88

  • LA PLACE DE LA RELIGION DANS 3 FILMS DE CHUCK par Christiane.

    Ce matin, je pensais à la place de la religion dans les trois films : Les 10 Commandements , Ben Hur, Le Cid .....


    Dans le premier, avec le prophète Moïse ,nous assistons aux prémices du judaïsme : un seul dieu, face aux idoles des Hébreux....

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    Une nouvelle façon de considérer Dieu : seul et unique ....
    Ben Hur, lui, est contemporain de Jésus, qui aboutit l'enseignement de Moïse, tout en prêchant un Dieu d'amour ....

    Dans le premier film, la scène, où la religion prend toute son ampleur, me semble être celle où Yahvé donne à Moïse les Tables de la Loi .


    Dans le second, les deux rencontres Jésus-Judah (Ben Hur) sont les deux facettes de ce rôle que va tenir la religion dans la vie du héros.

    Quant au Cid, les serments, fussent-ils royaux, sont un point fort de cette importance de la religion ainsi que la succession de père en fils où les rois tiennent leur pouvoir de Dieu .

    Voilà, amis hestoniens, mes pensées,ce matin, à l Église (endroit choisi s'il en est !).....


    Trois films vus et revus et aimés , où Chuck nous donne trois grands portraits d'hommes .....

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  • CINEMONDE N° 1775/1969 : CHARLTON HESTON S'ADONNE A L'EROTISME !

    En ces temps difficiles, violents, je suis heureuse d'avoir pu me procurer le seul numéro de Cinémonde datant de 1969, en vente sur EBAY. 

    Ce numéro parle de Charlton Heston pendant le tournage de "NUMBER ONE".

    Plutôt qu'un long exposé, j'ai préféré scanner les pages pour vous en faire profiter pleinement. L'interview de Chuck est très intéressante et nous fait comprendre beaucoup de choses concernant sa carrière à l'époque du tournage de ce film.

    Bonne lecture à toutes et tous.

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    ( Dommage que de voir la pliure centrale du magazine, sur la photo ! )