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CHARLTON HESTON : INTERVIEW AUDIO 1999 expliquée par Maria billet N° 6

Malheureusement, comme vous le savez, je ne parle ni ne comprends l'anglais. Pourtant, je publie

ici cette interview de Chuck que notre amie Carole nous a donné à découvrir ce matin, sur la

page de notre groupe hestonien FB. Je l'en remercie.

Pour toutes celles et tous ceux qui sont bilingues.

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Je remercie Maria Russo qui a déposé dans les commentaires, l'explication de cette interview de Chuck.

Je l'ai traduite en français pour nous autres francophones qui ne comprenons pas l'anglais.

 

 

 

il y n'a pas beaucoup de nouveautés dans l'interview de 1999 mais la partie des célébrations pour les noces d'or du couple Lydia - Chuck est arrivée 5 ans avant,  en 1995 à Hollywood avec une grande participation de la communauté hollywoodienne.

Pour donner une autre indication, nous dirons que le mariage a eu lieu à Greensboro, Caroline du Nord, peut-être dans la même église où se sont mariés les parents de mon mari qui était né là.

Ils ont vu apparaître une mariée vêtue de pourpre. Et chaque anniversaire de mariage voit Lydia habillée dans une nuance claire ou sombre de cette couleur.


Un autre point essentiel c'est l'importance du principe selon lequel Chuck relie le hasard au destin, dans un mot anglais "Serendipity" (1), ouvrant la voie à la vie de chaque être humain. Parfois, le bon (mais parfois  le pire - je dirais), comme dans le cas de la carrière cinématographique réussie de Chuck, peut-être en raison du choix qu'il a fait,  lorsqu'il a terminé son premier film, de faire un dernier tour de plateau dans une Packard convertible verte ce qui a attiré l'œil de Cecil B. de Mille et lui a valu son premier contrat avec de Mille pour " Sous le plus grand chapiteau du monde". En bref, la vie est une histoire de si ..., suivie par des résultats favorables du destin.

Chuck parle avec fierté du rôle public qu'il  a eu, à partir de sa présidence du Syndicat des Acteurs, l'émotion en se rappelant les années de lutte pour les droits civiques des Afro-Américains, aux côtés de  quelques autres stars du cinéma américain et aux côtés de Martin Luther king.

Il parle aussi du présent controversé de sa campagne pour le deuxième amendement et en faveur de la NRA, cependant, il a commis une erreur historique grossière quand il dit que les États-Unis sont le seul pays avec une Constitution, contrairement au Royaume-Uni libre de Charte constitutive . Tous les autres pays européens ont une Constitution, au moins depuis la Seconde Guerre mondiale.

Mais certaines chutes de style ne sont pas rares chez les Américains. Il parle enfin du cinéma contemporain, déplorant les coûts excessifs, l'abondance de la violence et, enfin, des acteurs d'aujourd'hui qui à part quelques exceptions,  sont loin des scènes de théâtres  pour peut-être trois raisons:


1) Arrogance. Ils sont considérés comme trop célèbres pour perdre du temps sur la scène.


2) Avidité. Avec le cinéma beaucoup plus de gains (et moins de fatigue).


3) La peur. L'acteur de théâtre est plus exposé aux critiques négatives et la réponse est immédiate.


Peut-être, mais les films que Chuck aime le plus sont ceux qu'ils a tournés avec de grands acteurs et de grands réalisateurs. Et bien sûr de jouer les grandes pièces avec de grands personnages. Il les appelle ses "films shakespeariens"

 

(1) "serendipity", (mot anglais) créé au 18ème siècle, est utilisé pour désigner une découverte inattendue, faites grâce au hasard, la découverte d'une chose de valeur ou agréable sans l'avoir cherchée.

Commentaires

  • non ci sono molte novità nella intervista del 1999, se non che parte dai festeggiamenti per le nozze d'oro della coppia Lydia - Chuck avvenuti 5 anni prima nel 1995 ad Hollywood con grande partecipazione della comunità hollywoodiana. Per dare qualche altra indicazione diremo che le nozze svoltesi a Greensboro , North Carolina, forse nella stessa chiesa dove si unirono in matrimonio i genitori di mio marito, nato appunto lì videro una sposa vestita in viola. E ogni anniversario di matrimonio vede Lydia vestita in una sfumatura chiara o scura di quel colore.
    Altro punto importante è l'importanza che Chuck da al principio di casualità misto a destino , in una parola inglese "Serendipity", che traccia la via per la vita di ogni essere umano. A volte nel bene (ma altre volte nel male - direi io), come nel caso della fortunata carriera cinematografica di Chuck, attribuibile forse alla scelta di fare un ultimo giro del set, terminato il suo primo film, in una Packard verde decapottabile che colpì l'occhio di Cecil B. De Mille e gli valse il suo primo contratto con De Mille per "Il più grande spettacolo del mondo". Insomma la vita è una storia di se..., seguiti da esiti favorevoli del destino.
    Chuck parla con orgoglio del ruolo pubblico che ha avuto, a partire dalla presidenza del Sindacato degli Attori Cinematografici, della commozione nel ricordare gli anni della lotta per i diritti civili degli afro-americani, affrontata con poche altre star del cinema USA e a fianco di Martin Luther King.
    Parla anche del presente, per quanto controverso, della sua campagna per il secondo Emendamento e a favore della NRA, commettendo però un grossolano errore storico quando afferma che gli USA sono il solo paese dotato di una Costituzione, al contrario del Regno Unito privo di Carta Costituente. Tutti gli altri paesi europei hanno una costituzione, a partire almeno dal secondo dopoguerra. Ma certe cadute di stile non sono rare tra gli americani. Infine parla del cinema contemporaneo, lamentandone i costi eccessivi, l'abbondare di violenze e infine degli attori di oggi che tranne poche eccezioni stanno lontano dalle scene teatrali per forse tre motivi:
    1) Arroganza. Si considerano troppo famosi per perdere il tempo sul palcoscenico
    2) Avidità . Con il cinema si guadagna molto di più (e si fatica molto dimeno)
    3) Paura. L'attore teatrale è più esposto a critiche negative e più immediato è il responso.
    Forse, ma i film che Chuck ama di più sono quelli che ha girato con grandi attori e grandi registi. E naturalmente interpretando grandi parti per grandi personaggi. Li definisce i suoi "Shakespearean films"

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