Première présentation le 16 novembre 2016
MISE A JOUR LE 20 DECEMBRE 2016 - Message FB de Marc Eliot :
The countdown has begun! Less than three months to publication. Stay tuned for news about related events. Thanks, everyone!
Le compte à rebours a commencé ! Moins de trois mois avant la publication
. Restez à l'écoute des informations sur les événements connexes. Merci tout le monde !
J'ai traduit ce matin, cette première présentation du livre de Marc Eliot, qui sortira en mars 2017 sous le titre :
" CHARLTON HESTON : HOLLYWOOD'S LAST ICON "
J'ai pensé intéressant de publier ce premier article, nous donnant un aperçu de ce que
sera le livre de Marc.
Vous pouvez retrouver la version originale sur ce site :
PRESENTATION PAR L'EDITEUR :
La première biographie d'une des plus fascinantes légendes complexes et polarisantes de
l'âge d'or du cinéma, Charlton Heston, par l'auteur à succès primé de Cary Grant, Walt
Disney et American Rebel.
Avec des performances inoubliables comme Moïse dans les Dix Commandements,
l'astronaute angoissé George Taylor en 1968 dans la Planète des Singes et l'éponyme Ben-
Hur pour lequel il a gagné un Oscar, Charlton Heston a cimenté sa place dans le
panthéon de l'héritage de Hollywood du vingtième siècle.. Mais sa renommée en tant
qu'acteur a été associée à son militantisme politique. Démocrate dans ses premières années,
Heston est devenu un fidèle partisan de Richard Nixon et du républicain Reagan. Il était
également président de la National Rifle Association, un franc militant pour les droits des
armes à feu dont les mots incendiaires, «de mes mains froides et mortes» ont indigné les
libéraux et sont devenus une maxime pour les partisans du Second Amendement.
Enfin, l'auteur à succès du New York Times, Marc Eliot, raconte en détail l'histoire de la vie
d'Heston et de sa carrière de six décennies.
Avec l'accès exclusif aux journaux, aux lettres et aux biens personnels d'Heston, Eliot
déploie habilement l'histoire compliquée de cet acteur emblématique, illuminant ses plus
grandes réalisations ainsi que ses plus grands échecs et regrets.
Eliot examine comment un garçon de la région inexploitée du Michigan est devenu
le premier acteur, une star héroïque de Hollywood, qui a non seulement lutté pour les rôles
les plus panachés, mais maintenu son identité dans le paysage de rêve de Tinseltown (autre
nom de Hollywood). Comment il met à nu la vie de cette figure fascinante, Eliot expose le
monde sale des fabricants du mythe de Hollywood et le rôle crucial d'Heston en cela.
Illustrée de photos inédites de la famille de l'acteur, la biographie émouvante, ingénieuse et
honnête d'Eliot rend hommage à cette légende du cinéma et révèle non seulement comment
la personnalité célèbre d'Heston est née, mais pourquoi.
Apportant un éclairage nouveau sur l'une des plus grandes stars de l'Amérique, Eliot crée un
portrait incisif et convaincant pour les fans de longue date et pour une génération qui
voudrait découvrir la star oscarisée.
Commentaires
Spero davvero di poter leggere questa biografia che sembra poter far luce su una personalità unica quanto controversa, e non mi riferisco al suo attivismo politico negli ultimi infelici anni della sua vita. John Carter e Charlton Heston sono davvero una unica identità ? O hanno convissuto in una immagine unica ma una interiorità separata e a volte conflittuale? In una intervista resa in Inghilterra per la presentazione del diario The actor's life, ad una domanda sullo svelamento di un "inner me" contro un "outer me" Heston ha abilmente evitato la risposta con una battuta di spirito prima e poi con l'affermazione che nella vita non ha mai avuto abbastanza tempo da dedicare all'"Inner me". Da crederci, quando ha specificatamente dedicato una parte della sua grande casa all'Angolo della meditazione. Una bella contraddizione, vero? E quanto contraddittorie sono state certe scelte artistiche come il Poliziotto messicano di Touch of Evil o l'autodistruttivo antieroe Amos Dundee ? Quanto ha pesato su tutta la sua vita una infanzia di abbandono e privazioni? Quanto ha pesato l'assenza di un padre che riesce a recuperare, ormai trentenne, solo attraverso l'elenco del telefono? In due diverse interviste la figlia Holly da una parte sconfessa l'immagine severa e autoritaria che molti avevano di Charlton Heston dall'altra rievoca la difficoltà del padre a parlare di se stesso mettendo a nudo i suoi sentimenti. Nelle prime strazianti pagine di "In the Arena" il quadro dell'America negli anni della grande depressione vede questo bambino poco più che decenne strappato alla sua famiglia e al suo ambiente d'origine vagare al seguito di sua madre e del marito di lei da una città all'altra, da una cittadina all'altra , in abitazioni sempre più misere , sino ad arrivare all'accampamento dei vagabondi ritratto da Steinbeck in "The Grapes of Wrath " (" Furore" in italiano) che si nutre grazie alla generosità di altri. Non sono cose facili da dimenticare. Sono cose che ti segnano nel profondo. Nella famiglia di mio marito ho sentito storie terribili di quel periodo, anche se le condizioni economiche della famiglia Long non erano paragonabili a quelle di Chester e Lilla Heston. Eppure la desolazione era tale che una delle sorelle minori di mia suocera si tolse la vita a 16 anni, non riuscendo a sopportare il dolore che piagava l'animo degli Americani negli anni '30. Spero che Eliot abbia concesso abbastanza spazio a questi primi due decenni di vita del nostro Chuck. E spero soprattutto di riuscire ad acquistare il suo libro, dal momento che per due volte Amazon ha rifiutato la mia prenotazione
Chère Maria, un vrai bonheur de retrouver tes commentaires que je transforme en billet pour le blog, comme tu le sais.
Je vais t'écrire aujourd'hui. Je suis vraiment désolée de ne pas t'avoir écrit plus tôt. Je t'expliquerai.
Oui, je pense aussi, que Chuck a dû se battre dans cette dualité qui devait l'habiter. Comme tu l'analyses si bien, quand on connait le départ douloureux qu'il a eu dans son enfance, il ne pouvait pas en sortir indemne.
Mais il avait une personnalité exceptionnelle qui l'a aidé, même s'il n'a pas pu tout régler au cours de sa vie. Je reste persuadée que Chuck n'a pas été un homme heureux, au long de sa vie. Son regard profond, perçant a toujours été teinté d'une tristesse infinie, mais bien peu ont dû s'en rendre compte. Moi, c'est ce que j'ai toujours observé sur ses photos, même quand il souriait, une sorte de mélancolie lointaine émanait de son regard infiniment humain.
Je t'écris tout à l'heure. Bisous d'amitié et merci pour ta contribution au blog.
merci chère France. ..
Vous êtes magnifique comme d'habitude. ..
Merci Chère Sylvia. Je commence à reprendre en douceur, pour pouvoir donner le meilleur de Chuck. Bisous d'amitié